J'anime le mercredi 3 octobre 2012 l'atelier du #ProjetColumbus: «Actualités 2.0 - signaux, bruits et décodeurs» avec Josée Plamondon et Sébastien Provencher.
Pour inscription, allez sur le site Le Lien Multimédia
L'arrimage entre les médias de masse et ceux dits «sociaux» a été fait après une décennie de progression exponentielle des réseaux socionumériques. Arrimage réussi, mais pour quel résultat?
On voit continuer à péricliter l'économie du journalisme. Elle s'accélère même. Alors qu'au même moment où l'institution vacille, les journalistes n'ont jamais été aussi présents et importants. La montée de la société de l'information ne peut être que l'âge d'or du (nouveau?) journalisme.
Mais à quoi ressemble cette actualité dans un monde hyperconnecté? Comment capter les «signaux faibles» qui émanent de toutes les «conversations» en ligne. Ces signaux sont riches de potentialités et méritent d’être entendus et mis à contribution. Écouter. Mais quoi, mais où, mais comment?
Le Projet COLUMBUS organise cet atelier d’une journée pour en discuter. Outre Josée Plamondon et Sebastien Provencher, nous aurons Fabien Deglise (Le Devoir), Patrick White (Huffington Post Québec) et Fahim Moussi (CUTV) pour amorcer des pistes de réflexion.
En groupe, nous allons tenter de dessiner (littéralement) cette carte du territoire, de ce nouvel écosystème de l'information:
Mais entretemps, le datajournalisme refait surface (Deglise rappellera le matin qu'il n'est qu'un retour de qui s'est déjà fait) et l'open journalism fait que les salles de nouvelles collaborent ensemble. Ce ne sont que le point de départ et non l'objectif de la journée. Le journaliste peut-il se retrouver à repenser sa place parmi les signaux, les bruits et les décodeurs?
Cette journée d'atelier n'est pas une conférence de Yalta où on se sépare le monde. C'est plutôt un caucus entre coureurs des bois, sur un continent à découvrir, qui se disent qu'ils ne vont pas attendre les ordres de la capitale pour explorer et trouver le passage vers l'Ouest.
Pour inscription, allez sur le site Le Lien Multimédia
L'arrimage entre les médias de masse et ceux dits «sociaux» a été fait après une décennie de progression exponentielle des réseaux socionumériques. Arrimage réussi, mais pour quel résultat?
On voit continuer à péricliter l'économie du journalisme. Elle s'accélère même. Alors qu'au même moment où l'institution vacille, les journalistes n'ont jamais été aussi présents et importants. La montée de la société de l'information ne peut être que l'âge d'or du (nouveau?) journalisme.
Mais à quoi ressemble cette actualité dans un monde hyperconnecté? Comment capter les «signaux faibles» qui émanent de toutes les «conversations» en ligne. Ces signaux sont riches de potentialités et méritent d’être entendus et mis à contribution. Écouter. Mais quoi, mais où, mais comment?
Le Projet COLUMBUS organise cet atelier d’une journée pour en discuter. Outre Josée Plamondon et Sebastien Provencher, nous aurons Fabien Deglise (Le Devoir), Patrick White (Huffington Post Québec) et Fahim Moussi (CUTV) pour amorcer des pistes de réflexion.
En groupe, nous allons tenter de dessiner (littéralement) cette carte du territoire, de ce nouvel écosystème de l'information:
- Qu'est-ce qui pointe vers la nouvelle?
- Où circule-t-elle?
- Quels nouveaux acteurs ont émergé?
- Quel type de forme, quelles mutations a subies la nouvelle après l'arrimage?
- Quels sont les mécanismes qui permettent de rétrécir le temps entre le premier signal faible et sa propagation dans les grands médias?
- Quels sont les invariants et les nouveaux vecteurs?
Mais entretemps, le datajournalisme refait surface (Deglise rappellera le matin qu'il n'est qu'un retour de qui s'est déjà fait) et l'open journalism fait que les salles de nouvelles collaborent ensemble. Ce ne sont que le point de départ et non l'objectif de la journée. Le journaliste peut-il se retrouver à repenser sa place parmi les signaux, les bruits et les décodeurs?
Cette journée d'atelier n'est pas une conférence de Yalta où on se sépare le monde. C'est plutôt un caucus entre coureurs des bois, sur un continent à découvrir, qui se disent qu'ils ne vont pas attendre les ordres de la capitale pour explorer et trouver le passage vers l'Ouest.
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