Hubert Guillaud d'Internet Actu porte à notre attention sur un billet sur la complexité des réseaux sociaux qui ne permettent pas la granularité des centres d’intérêt!
“La plupart des réseaux sociaux estiment que nous sommes proches des gens avec lesquels nous sommes en contact. Mais l’intérêt que nous avons dans les autres (et les autres en nous) est rarement de 100 % et il est même plus rare encore que ce 100 % d’appréciation soit égal dans les deux directions”. (traduction de H.Guillaud)
Pour en lire plus:
Explaining the Granular Social Network : Social Tools Need to Embrace Granularity
Ce à quoi ça me fait réfléchir
Si vous construisez ou animez un réseau social, pensez au fait que l'individu puisse ne pas représenter la pierre angulaire du réseau social. C'est plutôt un (ou plusieurs) de ses champs d'intérêt qui représente(nt) la brique sur laquelle il faut bâtir les flux.
05 mai 2008
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2 commentaires:
Et en même temps, en m'essayant à FriendFeed (via AlertThingy par exemple) et en suivant les flux de plusieurs personnes, je me rends compte du potentiel qu'il y a de tout suivre d'une personne, même des choses qui pourraient ne pas nous intéresser à priori, dont l'auteur n'est peut-être pas conscient qu'il les partage, comme le flux de ce qu'il écoute sur Last.fm, ou celui des billets qu'il met de côté avec Google Reader...
Hubert, bien sûr. Et ton billet le précisait aussi: cela génère du "bruit" qui peut se révéler être une information après tout.
Dans le cas d'ami, la personne et tous ses intérêts sont pertinents à suivre.
Mais il peut arriver que l'on veuille suivre quelqu'un (qui n'est pas un "ami" en général) uniquement pour un centre d'intérêt.
Le problème est le filtrage: il est plus simple de se désabonner ou de faire fi des "messages inutiles" que de syntoniser par granularité (principe de moindre effort)...
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