A partir de Citizen ICAM un portail public branché sur la base de données des crimes rapportés au département de police de la ville, vous pouvez voir l'endroit exact des crimes, classés par district et type de crime, etc...
(pour une liste complète des utilisation de Google Maps voir le billet d'Éric Baillargeon.)
À quand une utilisation similaire à Montréal? (je ne parle pas de mapper les crimes, mais d'utiliser une information publique d'un côté et un service web de l'autre, puis de l'offrir au grand public...)
Ça demande que la ville de Montréal soit ouverte (sacré défi) et des programmeurs intéressés (ça devrait se trouver).
Voici ma suggestion :
- Faire un site qui permet au public d'indiquer où se trouvent les nids-de-poules dans les rues de Montréal.
- Ensuite envoyer l'adresse aux responsables de la ville (car je ne sais pas s'il savent ce qu'est un trackback).
- Quand la ville va reboucher les trous, le seul moyen de faire disparaître les points sur notre carte sera de rendre disponible leur base de données des coordonnées des trous rebouchés.
- Notre système pourra alors se brancher à leur système et vérifier l'état de routes automatiquement.
Ce type d'application peut être utilisé pour d'autres besoins. Mais l'idée est de forcer la main à la ville de rendre les données disponibles ou, si elles le sont déjà, de les rendre utiles...
Utilisons la force du réseau...
Notes:
Lire le point de vue d'un Indonésien sur ChicagoCrime (et la relation Gmaps et les datas publiques) : andryshuzain.com
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