Les implants sont probablement la première étape vers les cyborgs. Augmenter l’humain se fera par petits implants à la fois. Et toujours avec de bonnes raisons pour le justifier au début.
Des chercheurs suisses ont présenté la semaine dernière un prototype d’un testeur de sang qui n’implique pas d’aiguille à introduire dans la peau.
Bon OK. C'est quoi le rapport avec Internet?
Des chercheurs suisses ont présenté la semaine dernière un prototype d’un testeur de sang qui n’implique pas d’aiguille à introduire dans la peau.
Bon OK. C'est quoi le rapport avec Internet?
Le minuscule dispositif implanté juste sous la peau fait des analyses en temps réel des substances dans le corps, via le sang. Il a un module radio qui transmet les résultats à un médecin sur le réseau de téléphonie cellulaire.
Prouesse de la miniaturisation
Avec à peine 1/10 de watt, ce laboratoire sous-cutané fonctionne avec une batterie qui se trouve sur la peau, sur une patch en fait. On change la batterie en changeant de pièce sur la peau.
Mais ce n'est pas tout. Le dispositif détecte 5 de vos protéines et quelques acides organiques. Parfait pour les grands malades qui en ont marre de se faire piquer toutes les trente minutes.
Mais le plus extraordinaire, c'est que le dispositif émet des ondes qui sont captées par la pièce. Cette pièce retransmet l. information par Bluetooth à un cellulaire. Votre cellulaire. Puis le cellulaire envoie les données par 3G/4G au docteur
Allo docteur, ici la cellule cancéreuse de Martin
Je ne sais pas pour vous, mais moi, je trouve que ça ressemble beaucoup ça: mes cellules vont pouvoir téléphoner à mon docteur directement.
Je crois bien que l'internet des objets voit de nouveaux arrivants sur le réseau: nos organes, nos cellules, nos protéines...
On est pas là encore. Il faudra que les chercheurs suisses réussissent leur petit laboratoire sous-cutané en premier. Mais je ne vois pas pourquoi on s'arrêterait à de simple analyse de sang si on peut aller plus loin...
Avec à peine 1/10 de watt, ce laboratoire sous-cutané fonctionne avec une batterie qui se trouve sur la peau, sur une patch en fait. On change la batterie en changeant de pièce sur la peau.
Mais ce n'est pas tout. Le dispositif détecte 5 de vos protéines et quelques acides organiques. Parfait pour les grands malades qui en ont marre de se faire piquer toutes les trente minutes.
Mais le plus extraordinaire, c'est que le dispositif émet des ondes qui sont captées par la pièce. Cette pièce retransmet l. information par Bluetooth à un cellulaire. Votre cellulaire. Puis le cellulaire envoie les données par 3G/4G au docteur
Allo docteur, ici la cellule cancéreuse de Martin
Je ne sais pas pour vous, mais moi, je trouve que ça ressemble beaucoup ça: mes cellules vont pouvoir téléphoner à mon docteur directement.
Je crois bien que l'internet des objets voit de nouveaux arrivants sur le réseau: nos organes, nos cellules, nos protéines...
On est pas là encore. Il faudra que les chercheurs suisses réussissent leur petit laboratoire sous-cutané en premier. Mais je ne vois pas pourquoi on s'arrêterait à de simple analyse de sang si on peut aller plus loin...