Firefox offre la possibilité d'ouvrir plusieurs onglets (tab) pour naviguer, caractéristique dont j'abuse abondamment.
Image: source blog de Felk
Je vous partage leur contenu avant de les fermer:
Le blog de K. En voyage dans le vrai monde réel.
Le blog d'Emmanuelle Richard dans le monde simulé de l'Irak, Arizona.
Les bonnes fréquentations. Un One Degree de Québec en devenir avec un fond d'archive (gracieuseté de Michael) pour vulgariser l'Internet d'aujourd'hui for the rest of us...
Été de JSB. Une citation sur la connection au monde par les déconnectés que nous sommes.
Retour sur Tchernobyl et le Mensonge. Réflexion autour du mensonge et son origine, où menteurs et abusés sont complices objectifs autour d'une dévotion à la technicité. (Le blog C'est pour dire+plus+)
Le petit Garçon. (via Mario). À pleurer de joie.
Links and Power: The Political Economy of Linking on the Web (Jilltxt cuvée 2002) (via froginthevalley : GTB - Getting Things Blogged!)
Ecto, desktop blogging client for MacOSX and Windows (toujours via frog)
Google Browser Sync, Firefox's extension that continuously synchronizes your browser settings across your computers (encore via Frog)
Ozone, le Ile dans Fil de Paris (via À mon avis...)
Un clip nippon pour contrer la vague caniculaire (absurdement hilaranophone).
Android5, son blog [En]. Mais comment me suis-je rendu là?
SmackBook Pro. Taper votre portable, il changera de configuration (Hacker le senseur de votre portable).
Enron Mail. Chercher parmi les millions de courriels que le personnel d'Enron s'envoyait (et vous n'utiliserez plus jamais votre courriel corpo de la même façon!)
Etch a sketch. (Etch a kitch, oui!) le pop art américain du 21ième siècle. Tout le monde aura son 15 pouces carré. (via Pogue)
Saving the World, One Video Game at a Time. (Nytimes.com) On s'en reparle plus en détail de celui là.
100x100. Cent photos de cents apartements de cent pieds carré à Hong-Kong. (via Pogue)
The ultimate mommy blog list. Guy Kawasaki (via Michel LeBlanc)
Lichenology. Réflexion de Zane sur le travail, la vie et un sens à tout ça (avant que son petit naisse en janvier prochain)...
Le New York Times trafique ses archives en ligne... tiré des archives des Chroniques de Cybérie (fév. 2002)
29 juillet 2006
1
28 juillet 2006
4
Par où commencer?
Un blog est un fourre-tout, classé par date, ce qui est le pire des classements pour le lecteur. Voici un classement raisonné de mes meilleurs morceaux...(à consommer à petites doses)
Zéro Seconde: liste partielle (et partiale) de mes meilleurs textes
(dernière mise à jour: 22 Août 2007)
Web 2.0, le déplacement de l'usage d'Internet
Comprendre les blogs, les carnets et les blogues
Décryptage de la blogosphère
J'ai commencé à baliser le terrain pour démarrer une recherche sur l'autorité cognitive en vue de faire éventuellement des études au doctorat.
Les moteurs de recherches déforment la réalité du monde
Inclassables
Zéro Seconde: liste partielle (et partiale) de mes meilleurs textes
(dernière mise à jour: 22 Août 2007)
Web 2.0, le déplacement de l'usage d'Internet
- Les 6 cultures d'Internet. Ou comment un peut dire que le web 2.0, c'est Internet 6.0, c'est à dire la prise d'assaut du web par les "opérateurs de symboles".
- L'acte de naissance du web 2.0 : deux "mémos internes" divulgués sur Internet par Bill Gates et Ray Ozzie de Microsoft reconnaissent l'émergence d'une véritable vague de fond dont la blogosphère parlait.
- Le faire part de naissance du web 2.0 : Time designe l'usager comme personalité de l'année et diffuse la terminologie (et l'esprit) du web 2.0 auprès du grand public.
- Wikipedia, banque de signets. Google et Yahoo n'ont qu'à bien se tenir.
- Usagers, prisonniers de "l'expérience". On ne peut plus désigner les sites web de la même façon. Le design du web 1.0 est un effet diligence.
- De la conversation à la connaissance. Les nouveaux outils modifient notre rapport au savoir.
- Le web 2.0, par lui-même : vidéo qui explique tout.
- La multiplication des points d'accès aux médias. Ça n'empêche pas les ados de s'ennuyer. (teen teen, boring boring)
- Mouvement de marée informationnelle. Ou le réajustment de l'offre push par rapport à la montée du pull.
- Le spectacle du monde
- La blogosphère et les médias
- Les blogs et l'agenda setting
- Les médias et les blogs : l'heure du décryptage
Comprendre les blogs, les carnets et les blogues
- Différence entre forum, wiki, blog. Il importe dès le départ de séparer ces trois différents outils de communication différée.
- Le blog comme page web avec public où j'établie que la construction d'un public est la caractéristique distincte du blog (lire aussi Blog versus Geocities).
- Les blogs et l'agenda setting. La blogosphère est un percolateur de "sujets d'actualité" .
- J'affirme même que le blog n'est pas un weblog.
- Différence entre blog et forum. Un forum est une place "publique" où les participants, avec le modérateur, contrôlent l'agenda. Un blog est un espace "personnel" où l'auteur contrôle l'agenda.
- Comprendre le RSS, le fil web qui a donné des ailes aux blogues.
- 30 raisons d'intégrer les blogs en classe.
- Et pour finir, petites citations détournées sur les blogs
Décryptage de la blogosphère
- Limite de l'expansion maximale de la blogosphère
- La trinité expliqué aux païens où je tente une métaphore pour expliquer la trinité "carnet - fil web - aggrégateur".
- La société des chroniqueurs où je définie les bloggeurs comme des chroniqueurs de la connaissance.
- Développement du savoir profane où j'expose l'idée d'une blogosphère comme incubateur de connaissance non académique.
- La blogosphère est un vivier de théories profanes où je développe sur le fait qu'un nouveau savoir émerge hors académie et qu'elle se crée ses propres outils d'auto-légitimation.
- J'en appelle aussi à démocratiser l'information académique afin que ce savoir ne soit pas en position de faiblesse sur Internet face aux nouveaux gatekeepers de la connaissance du monde.
- Les blogs ont démontré la force apparente de la diffusion sans destinataire précis.
- La blogosphère rythmée où j'illustre par une métaphoe que la temporalité dans la blogosphère est déterminante (à partir d'une théorie d'Alain Giffard).
- L'absence de zone privée force tous différents points de vues à, soit s'affronter, soit se taire (la blogosphère sans revers).
- Le mythe du contenu décontextualisé donne la possibilité à la blogosphère d'être un lieu du sens.
- La relève: les académiciens auront besoin de la blogosphère
J'ai commencé à baliser le terrain pour démarrer une recherche sur l'autorité cognitive en vue de faire éventuellement des études au doctorat.
- La crédibilité sur le web sera (est) un enjeu majeur dans une société où l'accès autonome à une information relayée (c'est à dire qui n'est tirée d'une expérience directe) deviendra la norme.
- Comment croire ce que l'on trouve, comment ne pas être berné? C'est le problème du filtrage de l'information sur Internet.
- Nous connaîtrons dorénavent les choses à travers les expériences des autres et non plus particulièrement à travers la nôtre (Serions-nous arrivé à l'ère du nivellement par le milieu?).
- Qui croire quand informations et connaissances circulent librement ?
- Astroturfing: l'usurpation de représentativité
- Il faut le downloader pour le croire. Chaque génération possède son véhicule privilégié pour transmettre la "vérité à distance".
- Le premier article sur une charte autoritaire du partage des connaissances en élaboration. Puis un second six mois après, lorsqu'il a été lancé. Une critique virulente, mais tout de même admirative, d'une initiative qui peut donner froid dans le dos si cela tombait entre les mains de corporations déhumanisantes.
- Lisez ensuite Expression et transformation de la connaissance où j'explique pourquoi je pense que la connaissance est un bien inaliénable de l'individu. Et aussi Causalité et interactions cognitives d'une idée qui détaille mes arguments en faveur d'une "cognitive privacy" contre une extortion en règle de la pensée (lire La moisson de l'implicite).
- Wiki et le savoir colligé. Le wiki est aujourd'hui utilisé pour formaliser et conserver une trace écrite des connaissances des participants.
- Doit-on gérer la connaissance ou la partager?
- La publication en ligne : La révoltes des pronétaires de Joel De Rosnay disponible gratuitement! Mais est-ce un modèle d'affaire viable?
- Le wiki comme palimseste digital ou comme dazibao numérique.
- Les trois types de catégorisation de la connaissance et la place du "tagging" social.
- Le no-follow, un tag qui confirme que lier c'est voter.
- Le comment blogging ou comment ne plus perdre la trace de ses commentaires sur d'autres blogs.
- RedFin : L'immobilier et le virtuel.
- Comprendre le RSS, le fil web qui a donné des ailes aux blogues.
- Qu'est ce que les fils webs apportent de différents des sites web? Le RSS donne une dimension supplémentaire et permet de faire circuler l'information.
- À quand le RSS grand public? C'est qu'il y a un sacré frein à son adoption : ce n'est pas tout le monde qui se voit comme une node d'information.
Les moteurs de recherches déforment la réalité du monde
- Se faire plutonner. Comment le déclassement de Pluton peut nous faire comprendre l'importance d'une modification des critères d’appartenance à une catégorie.
- Comment je me classe selon divers engins (et mon Dieu que ça n'a pas toujours du sens)
- CSI: Web. Autopsies d'une requête.
- Le domaine des loups. Quand l'extension de domaine .xxx deviennent un enjeu commercial.
- Pourquoi je crois que l'intelligence artificielle ne peut se bâtir sur des syllogismes.
- Comment sa complexité recèle encore de nombreux défis.
- Goedel et le web sémantique.
Inclassables
- Pourquoi les américains de la classe moyenne votent comme les riches?
- Les mots pour le pire : un monde sans échec est sans succès.
- Communication par site web interposé. Le début d'une pétition nouveau genre?
- Google Earth comme plateforme, et soudain la planète comme interface.
- La conspiration du 11 septembre reloaded.
Libellés :
Autorite,
Connaissance,
Signets,
Tendance
Lisibilité
Geoffroi Garon de Biotope propose de suivre ce lien, Readability Test, pour évaluer la "lisibilité" de votre blogue.
La lisibilité est obtenue avec un certain calcul standard sur la quantité de mots, de syllabes, etc d'un texte pour en évaluer la "simplicité" de lecture.
Voici le résultat pour zéroseconde.blogspot.com
(Nombre de billets à l'accueil: 30)
Statistiques:
Total phrases: 886
Total mots: 8878
Moyenne de mots par phrases:10,02
Mots de 1 syllabe: 5524
Mots de 2 syllabes: 1840
Mots de 3 syllabes: 928
Mots de 4 syllabes et +: 586
Pourcentage de mots avec 3 syllabes et +: 17,05%
Moyenne de syllabes par mot: 1.61
Index
Gunning Fog Index: 10,83
Ce résultat indique grosso-modo le nombre d'année de scolarité demandé pour comprendre mon texte. Plus le chiffre est bas, plus de monde pourra déchiffrer maprose. 17 est le maximum (étude universitaire supérieure). 10 correspond à un étudiant à la fin du secondaire.
Flesch Reading Ease: 60,09
Pour ce test standard plus le score est haut plus votre texte est simple. On s'attends en général à un score entre 60 et 70. Reader's Digest magazine possède un index de 65, Time magazine de 52, et the Harvard Law Review moins de 30 (source Wikipedia).
Flesch-Kincaid Grade: 7,37
Comme pour le Gunning-Fog index, c'est une autre mesure de la scolarité exigée pour comprendre un texte mais adapté à l'index Flesh et au système éducatif américain. Le maximum est 12. Donc 7 veut dire qu'un élève de 7th grade (US) serait en mesure de comprendre mon texte.
Imprécisions
Il faut tout de même noter que le service web ne fait pas de distinction entre un blogroll et les billets ce qui induit des imprécisions. Ma page d'acceuil contient un long blogroll et plusieurs mots-boutons redondants qui sont comptés.
Autre outil
Il existe d'autres outils automatiques pour calculer la lisibilité (readability.info, SMOG). Pour éviter les imprécisions, je vais prendre uniquement le contenu (sans les commentaires ni la colonne de gauche) de ce billet.
Nombre de caractères: 3,741
Nombre de mots : 729
Nombre de phrases : 41
Moyenne de cacarctère par phrases: 5,13
Nombre de syllabe par mot : 1,61 (ce chiffre est sûrement biaisé par l'algorithme anglophone)
Nombre de mots par phrase: 17,78
Voici ce que donne les mêmes index (nombre d'année de scolarité US)
Gunning Fog index : 13,15
Flesch Reading Ease : 52,89 (index de lisibilité du niveau du Times Magazine)
Flesh Kincaid Grade level : 10,30
L'outil propose d'autres index (nombre d'année de scolarité US):
Coleman Liau index : 12.74
ARI (Automated Readability Index) : 11.63
SMOG : 12.60
Mon texte semble donc correspondre aux gens ayant effectué des études post-secondaire. Mais ici aussi, il faut faire attention, les algorithmes sont pour les textes anglais.
Détails sur la readability sur Wikipedia (english)
25 juillet 2006
0
-38 à l'ombre
Pour se rafraîchir de la canicule qui sévit, un petit tour en Antartique?
Visitez le site ANSMET (The Antarctic Search for Meteorites program), un petit site tout ce qu'il y a de plus web 1.0 (avec Frames et JPEG low-res qui font tellement milieu '90 - charmant le style rétro!) qui donne un portrait en images des scientifiques à la recherche de météorites. Depuis 1976, près de 10 000 spécimens de météorites ont été trouvés dans l'Est de l'Antartique.
Le site est peu bavard mais très instructif. Outre les photos rafraîchissantes, j'y ai appris deux choses dans leurs FAQs
Pourquoi l'antartique est un bon endroit pour trouver des météorites?
Toute roche apparaissant à la surface du manteau de 3 km de glace ne peut que venir du ciel. Le phénomène de mouvement des glaces, associé aux terribles vents, permet au fil des millénaires, d'accumuler à des endroits spécifiques ces roches de l'espace qui se découvrent ainsi quand la neige s'évapore. La cueillette s'en trouve donc facilitée...
Certaines météorites viennent-elles vraiment de Mars et de la Lune?
Oui, car, contrairement à ce que l'on pourrait penser, quand un impact sur un corps céleste comme Mars ou la Lune fait éclater le sol et rebondir des morceaux, plusieurs morceaux sont projetés hors de l'atmosphère sans se pulvériser et dérivent dans l'espace pour éventuellement tomber vers la Terre .
La composition de certaines météorites correspondent exactement à celle des roches rapportées par les missions Apollo. Le doute n'est plus permis depuis 1982. C'est la mission ANSMET qui en a fait la découverte. Et celles de Mars? La vitrification des roches lors de leurs projection hors de la planète rouge renferme des trace de gaz dans une quantité identique à celle mesurée dans l'atmosphère martienne par les Vikings de 1976. (Un autre site donne davantage de détails : origin of the meteorite).
Expéditions glaciales en cours
J'ai trouvé d'autres sites/blogs (appelés live dispatches dans leur lingo) qui décrivent des expéditions en cours dans des lieux où les gouttes de sueurs sont surtout causés par le danger et non la canicule:
Brrrr...
Visitez le site ANSMET (The Antarctic Search for Meteorites program), un petit site tout ce qu'il y a de plus web 1.0 (avec Frames et JPEG low-res qui font tellement milieu '90 - charmant le style rétro!) qui donne un portrait en images des scientifiques à la recherche de météorites. Depuis 1976, près de 10 000 spécimens de météorites ont été trouvés dans l'Est de l'Antartique.
Le site est peu bavard mais très instructif. Outre les photos rafraîchissantes, j'y ai appris deux choses dans leurs FAQs
Pourquoi l'antartique est un bon endroit pour trouver des météorites?
Toute roche apparaissant à la surface du manteau de 3 km de glace ne peut que venir du ciel. Le phénomène de mouvement des glaces, associé aux terribles vents, permet au fil des millénaires, d'accumuler à des endroits spécifiques ces roches de l'espace qui se découvrent ainsi quand la neige s'évapore. La cueillette s'en trouve donc facilitée...
Certaines météorites viennent-elles vraiment de Mars et de la Lune?
Oui, car, contrairement à ce que l'on pourrait penser, quand un impact sur un corps céleste comme Mars ou la Lune fait éclater le sol et rebondir des morceaux, plusieurs morceaux sont projetés hors de l'atmosphère sans se pulvériser et dérivent dans l'espace pour éventuellement tomber vers la Terre .
La composition de certaines météorites correspondent exactement à celle des roches rapportées par les missions Apollo. Le doute n'est plus permis depuis 1982. C'est la mission ANSMET qui en a fait la découverte. Et celles de Mars? La vitrification des roches lors de leurs projection hors de la planète rouge renferme des trace de gaz dans une quantité identique à celle mesurée dans l'atmosphère martienne par les Vikings de 1976. (Un autre site donne davantage de détails : origin of the meteorite).
Expéditions glaciales en cours
J'ai trouvé d'autres sites/blogs (appelés live dispatches dans leur lingo) qui décrivent des expéditions en cours dans des lieux où les gouttes de sueurs sont surtout causés par le danger et non la canicule:
- Expédition de Snowkitting en Norvège (ça pourrait intéresser Loic LeMeur;-) qui s'est terminé ce début juillet.
- Expédition à 7000 m au Pakistan (et arrivée au sommet hier matin ! ) avec moultes détails dont celui où il a failli tombé dans une crevasse.
- Expédition en juin dernier à 5600 m au Mont Elbrus dans le Caucase (en danois dans le texte) excuté par 10 étudiants et 10 jours. Champagne à la fin.
- Une autre expédition au Pakistan. Arrivée au sommet ce matin!! Frais et dispo! Bravo!
Brrrr...
16 juillet 2006
1
Petites lectures d'été
Ça sent les vacances, le sable chaud et le rss au vent. Vous avez votre portable avec vue sur la baie d'Arcachon ou sur la rue principale de St-Jean-Port-Joli? Votre sorbet au fruit d'une main et le clavier de l'autre vous cherchez à profiter d'un accès wi-fi de façon intelligente?
Voici quelques liens en attendant que vos potes viennent vous rejoindre, vous aurez de quoi alimenter une conversation pour la soirée (à moins qu'ils insistent encore pour commenter le coup de boule de Zizou).
- Un blog sur la pensée de Martin Heidegger, et un article de Roger-Pol Droit pour savoir si vous devez le lire (La double face de Heidegger), sur lepoint.fr qui fait d'ailleur un bon dossier sur la polémique (faites une recherche sur les mots clefs).
-ClaimID. Un nouveau truc 2.0 (via froginthevalley). Un concept à explorer et à commenter: comment consolider sa présence sur le web?
- Diggdot.us. Du feed sur l'acid (via froginthevalley). Imaginez diggit, slashdot et del.icio.us dans le même collimateur.
- Tailrank.com . Dans la même veine, mais plus civilisé. Disons que c'est comme un aggrégateur à la Google News axé exclusivement sur 50000 blogs (anglo-américains). Ou un Technorati à la Agoravox. Ou un TopicExchange automatique. Ingénieux en tout cas.
- La république des livres. Le blogue de Pierre Assouline. Pour ne pas surfer idiot.
- Platypus/Gdrive. La rumeur dure sur le disque virtuel de Google (via Allergic).
- YouTube: ALL YOUR VIDEOS ARE BELONG TO US. Un pensez-y bien avant de faire confiance au web 2.0...
- La crise fiduciaire des médias de masse. « Je crois parce que j’expérimente ». J'en avais glisser un mot ici, mais la lecture extensive pourrait augmenter votre QI durant les moments creux à la plage...
- What's new? The news business. Un point de vue (in English) sur les nouvelles à l'heure du 2.0.
- Weblog Success: Exploring the Role of Technology (PDF). Une étude universitaire de 14 pages pour examiner l'importance du choix de l'outil par rapport au succès d'un blog. Hubert Guillaud a commenté ici. (via PointBlog)
- Il n'est pas de document scientifique qui ne soit citable. Sur les identifiants uniques des documents numériques scientifiques.
- 55 ways to have fun with Google (PDF). 228 pages de jeux à faire avec votre engin de recherche favoru. (via Totem-consult)
Et si vous vous êtes rendu jusqu'à cette ligne, alors, vous devez lire ce dernier:
- L’info, une drogue pas comme les autres.
Voici quelques liens en attendant que vos potes viennent vous rejoindre, vous aurez de quoi alimenter une conversation pour la soirée (à moins qu'ils insistent encore pour commenter le coup de boule de Zizou).
- Un blog sur la pensée de Martin Heidegger, et un article de Roger-Pol Droit pour savoir si vous devez le lire (La double face de Heidegger), sur lepoint.fr qui fait d'ailleur un bon dossier sur la polémique (faites une recherche sur les mots clefs).
-ClaimID. Un nouveau truc 2.0 (via froginthevalley). Un concept à explorer et à commenter: comment consolider sa présence sur le web?
- Diggdot.us. Du feed sur l'acid (via froginthevalley). Imaginez diggit, slashdot et del.icio.us dans le même collimateur.
- Tailrank.com . Dans la même veine, mais plus civilisé. Disons que c'est comme un aggrégateur à la Google News axé exclusivement sur 50000 blogs (anglo-américains). Ou un Technorati à la Agoravox. Ou un TopicExchange automatique. Ingénieux en tout cas.
- La république des livres. Le blogue de Pierre Assouline. Pour ne pas surfer idiot.
- Platypus/Gdrive. La rumeur dure sur le disque virtuel de Google (via Allergic).
- YouTube: ALL YOUR VIDEOS ARE BELONG TO US. Un pensez-y bien avant de faire confiance au web 2.0...
- La crise fiduciaire des médias de masse. « Je crois parce que j’expérimente ». J'en avais glisser un mot ici, mais la lecture extensive pourrait augmenter votre QI durant les moments creux à la plage...
- What's new? The news business. Un point de vue (in English) sur les nouvelles à l'heure du 2.0.
- Weblog Success: Exploring the Role of Technology (PDF). Une étude universitaire de 14 pages pour examiner l'importance du choix de l'outil par rapport au succès d'un blog. Hubert Guillaud a commenté ici. (via PointBlog)
- Il n'est pas de document scientifique qui ne soit citable. Sur les identifiants uniques des documents numériques scientifiques.
- 55 ways to have fun with Google (PDF). 228 pages de jeux à faire avec votre engin de recherche favoru. (via Totem-consult)
Et si vous vous êtes rendu jusqu'à cette ligne, alors, vous devez lire ce dernier:
- L’info, une drogue pas comme les autres.
14 juillet 2006
4
Les 5 fureteurs les plus populaires au monde
D'après OneStat, voici les 5 fureteurs les plus populaire au monde (et pour chaque pays).
Firefox étend son emprise...
Juillet 2006
1. Microsoft IE 83.05%
2. Mozilla Firefox 12.93%
3. Apple Safari 1.84%
4. Opera 1.00%
5. Netscape 0.16%
États-Unis
1. Microsoft IE 79.78%
2. Mozilla Firefox 15.82%
3. Apple Safari 3.28%
4. Opera 0.81%
5. Netscape 0.20%
Canada
1. Microsoft IE 80.98%
2. Mozilla Firefox 14.58%
3. Apple Safari 2.82%
4. Opera 1.30%
5. Netscape 0.14%
UK
1. Microsoft IE 86.23%
2. Mozilla Firefox 11.65%
3. Apple Safari 1.30%
4. Opera 0.53%
5. Netscape 0.15%
Australie
1. Microsoft IE 69.35%
2. Mozilla Firefox 24.23%
3. Apple Safari 1.31%
4. Opera 4.69%
5. Netscape 0.26%
Allemagne
1. Microsoft IE 55.99%
2. Mozilla Firefox 39.02%
3. Opera 2.78%
4. Apple Safari 1.73%
5. Netscape 0.30%
France
1. Microsoft IE 85.52%
2. Mozilla Firefox 11.86%
3. Apple Safari 1.74%
4. Opera 0.52%
5. Netscape 0.16%
Italie
1. Microsoft IE 75.67%
2. Mozilla Firefox 20.41%
3. Opera 1.96%
4. Apple Safari 1.74%
5. Netscape 0.43%
Belgique
1. Microsoft IE 83.47%
2. Mozilla Firefox 13.92%
3. Apple Safari 1.52%
4. Opera 0.88%
5. Netscape 0.15%
Pays-Bas
1. Microsoft IE 85.38%
2. Mozilla Firefox 12.19%
3. Apple Safari 1.48%
4. Opera 0.74%
5. Netscape 0.13%
Firefox étend son emprise...
Juillet 2006
1. Microsoft IE 83.05%
2. Mozilla Firefox 12.93%
3. Apple Safari 1.84%
4. Opera 1.00%
5. Netscape 0.16%
États-Unis
1. Microsoft IE 79.78%
2. Mozilla Firefox 15.82%
3. Apple Safari 3.28%
4. Opera 0.81%
5. Netscape 0.20%
Canada
1. Microsoft IE 80.98%
2. Mozilla Firefox 14.58%
3. Apple Safari 2.82%
4. Opera 1.30%
5. Netscape 0.14%
UK
1. Microsoft IE 86.23%
2. Mozilla Firefox 11.65%
3. Apple Safari 1.30%
4. Opera 0.53%
5. Netscape 0.15%
Australie
1. Microsoft IE 69.35%
2. Mozilla Firefox 24.23%
3. Apple Safari 1.31%
4. Opera 4.69%
5. Netscape 0.26%
Allemagne
1. Microsoft IE 55.99%
2. Mozilla Firefox 39.02%
3. Opera 2.78%
4. Apple Safari 1.73%
5. Netscape 0.30%
France
1. Microsoft IE 85.52%
2. Mozilla Firefox 11.86%
3. Apple Safari 1.74%
4. Opera 0.52%
5. Netscape 0.16%
Italie
1. Microsoft IE 75.67%
2. Mozilla Firefox 20.41%
3. Opera 1.96%
4. Apple Safari 1.74%
5. Netscape 0.43%
Belgique
1. Microsoft IE 83.47%
2. Mozilla Firefox 13.92%
3. Apple Safari 1.52%
4. Opera 0.88%
5. Netscape 0.15%
Pays-Bas
1. Microsoft IE 85.38%
2. Mozilla Firefox 12.19%
3. Apple Safari 1.48%
4. Opera 0.74%
5. Netscape 0.13%
08 juillet 2006
2
Un trombone pour une maison
Pari tenu! Kyle MacDonald a réussi, en un an, à échanger un trombone rouge contre une maison! Lisez l'aventure sur One red Paper Clip
05 juillet 2006
1
Pub flash
Si vous cherchez des beaux sites en flash, thefwa.com en offre à la pelle. Il regroupe des sites publicitaires pour aller au delà du "trente seconde"
04 juillet 2006
3
Il faut le downloader pour le croire
On a tendance à projeter sur nos outils de communications des vertus intrinsèques de "crédibilité" ou "d'objectivité". La télé est plus crédible, ou le journal est plus crédible, ou le blogue est plus crédible. Chaque génération possède son véhicule privilégié pour transmettre la "vérité à distance".
La crise actuelle des mass-médias découle d'une exigence d'une croyance culturelle que la nouvelle, l'information sur un "événement", ne s’altère pas tout à fait dans sa transmission, transmission qui elle-même doit être invisible afin de préserver "le sentiment qu’évènement et information sont une et même chose" (lire La crise fiduciaire des médias de masse de Jean-Louis Weissberg. Via Mario Asselin).
La crédibilité variable
Selon les époques, certaines formes de communication (oral, écrit, image) semblent "transmettre" plus adéquatement la "réalité" médiate.
Le XIXe siècle comptait sur la grande Presse comme fenêtre sur le monde; Le XXe siècle a proposé le reportage télé comme alternative; progressivement, au XXIe siècle débutant, nous voyons baisser la confiance envers ces médias et la montée de nouvelles modalités.
Les mass-médias voient apparaître des alternatives à l'accès à l'information : les jeux sérieux, les blogues, les podcasts, les flikr, les del.iciou.us, les youtube offrent une "re-création" d'un événement, d'une nouvelle, qui semblent "plus crédibles", plus "vraies".
Les créateurs d'événements
C'est une la chute du "il faut le voir pour le croire" (voir au sens de regarder l'image à la télé ou dans un journal). Une image ne vaut plus mille mots. Mille images valent mieux qu'une seule.
La facilité de trucage qu’offre le numérique entretient le doute permanent. Mais on ne peut pas truquer 1000 images de 1000 sources.
C'est la base de la crise de légitimité de l’audiovisuel institutionnel. C'est la base de la crise de la médiation de masse tout court: maintenant le réseau des réseaux permet aux acteurs ou aux spectateurs d'un événement de devenir eux-mêmes les producteurs et les diffuseurs exclusifs ou collectifs de cet événement.
Le mode d’auto-publication permet à tous de lier événement et médiatisation, c'est-à-dire que le fait de publier sur un événement, le crée plus qu'il ne le rapporte. Le "monde tel qu'il est", ce monde vu par ceux qui le rapportent, vient d'entrer dans un big bang. Le droit divin des mass-médias de créer l'événement a été donné au peuple. Pas étonnant que nous sentons que le monde s'accélère.
La fin des médias n'est pas à l'horaire
Mais alors, les médias, c'est fini? Non, ils vont s'adapter. J'en donne comme preuve l'excellent article sur les HFCS dans le New York Times de dimanche. Sur Internet circule tout plein d'information sur la corrélation entre l'introduction du produit synthétique dans le circuit alimentaire américain et l'augmentation du nombre de cas d'obésité.
Si la corrélation est troublante, elle n'est malheureusement pas prouvée scientifiquement, de l'aveu même de du scientifique qui a émis l'hypothèse (maintenant enterré sous tous les commentaires et les billets sur le web).
Les médias de masse comme catalyseur de nos questionnements sur le web
Il est possible de s'informer sur Internet, mais il est impossible d'en faire une synthèse objective. Reconnaissons-le, nous n'avons jamais le temps. Le journaliste devient alors le fiduciaire de nos questionnements et est payé à fouiller les sources, creuser les contradictions et faire le suivi.
Actuellement, le marché de la blogosphère, des médias-citoyens et tout ce bénévolat créatif n'arrivera jamais à la cheville d'une équipe de journalistes quant à la qualité (et là n'était pas le débat).
Si les médias ont bien pris note, et je vais le reformuler pour bien me faire comprendre, ils verront leur survie ou leur disparition dans l'acceptation que la sphère publique possède maintenant un lieu ouvert et accessible à tous et que s'il est clair qu'ils n'ont plus le monopole de l'accès aux sources, ils devront devenir des filtreurs de "sens", des débroussailleurs de "mèmes", des pourfendeurs de "rumeurs", les enquêteurs de nos questions qui circulent sur le réseau.
Un événement sur le web, est aussi un événement sur la place publique. Nous attendons d'eux qu'ils fassent la recherche, la synthèse et développe des pistes de réflexion plutôt que de seulement reporter l'information (au quel cas, à ce jeu, ils ne seront que souvenir demain).
La crise actuelle des mass-médias découle d'une exigence d'une croyance culturelle que la nouvelle, l'information sur un "événement", ne s’altère pas tout à fait dans sa transmission, transmission qui elle-même doit être invisible afin de préserver "le sentiment qu’évènement et information sont une et même chose" (lire La crise fiduciaire des médias de masse de Jean-Louis Weissberg. Via Mario Asselin).
La crédibilité variable
Selon les époques, certaines formes de communication (oral, écrit, image) semblent "transmettre" plus adéquatement la "réalité" médiate.
Le XIXe siècle comptait sur la grande Presse comme fenêtre sur le monde; Le XXe siècle a proposé le reportage télé comme alternative; progressivement, au XXIe siècle débutant, nous voyons baisser la confiance envers ces médias et la montée de nouvelles modalités.
Les mass-médias voient apparaître des alternatives à l'accès à l'information : les jeux sérieux, les blogues, les podcasts, les flikr, les del.iciou.us, les youtube offrent une "re-création" d'un événement, d'une nouvelle, qui semblent "plus crédibles", plus "vraies".
Les créateurs d'événements
C'est une la chute du "il faut le voir pour le croire" (voir au sens de regarder l'image à la télé ou dans un journal). Une image ne vaut plus mille mots. Mille images valent mieux qu'une seule.
La facilité de trucage qu’offre le numérique entretient le doute permanent. Mais on ne peut pas truquer 1000 images de 1000 sources.
C'est la base de la crise de légitimité de l’audiovisuel institutionnel. C'est la base de la crise de la médiation de masse tout court: maintenant le réseau des réseaux permet aux acteurs ou aux spectateurs d'un événement de devenir eux-mêmes les producteurs et les diffuseurs exclusifs ou collectifs de cet événement.
Le mode d’auto-publication permet à tous de lier événement et médiatisation, c'est-à-dire que le fait de publier sur un événement, le crée plus qu'il ne le rapporte. Le "monde tel qu'il est", ce monde vu par ceux qui le rapportent, vient d'entrer dans un big bang. Le droit divin des mass-médias de créer l'événement a été donné au peuple. Pas étonnant que nous sentons que le monde s'accélère.
La fin des médias n'est pas à l'horaire
Mais alors, les médias, c'est fini? Non, ils vont s'adapter. J'en donne comme preuve l'excellent article sur les HFCS dans le New York Times de dimanche. Sur Internet circule tout plein d'information sur la corrélation entre l'introduction du produit synthétique dans le circuit alimentaire américain et l'augmentation du nombre de cas d'obésité.
Si la corrélation est troublante, elle n'est malheureusement pas prouvée scientifiquement, de l'aveu même de du scientifique qui a émis l'hypothèse (maintenant enterré sous tous les commentaires et les billets sur le web).
Les médias de masse comme catalyseur de nos questionnements sur le web
Il est possible de s'informer sur Internet, mais il est impossible d'en faire une synthèse objective. Reconnaissons-le, nous n'avons jamais le temps. Le journaliste devient alors le fiduciaire de nos questionnements et est payé à fouiller les sources, creuser les contradictions et faire le suivi.
Actuellement, le marché de la blogosphère, des médias-citoyens et tout ce bénévolat créatif n'arrivera jamais à la cheville d'une équipe de journalistes quant à la qualité (et là n'était pas le débat).
Si les médias ont bien pris note, et je vais le reformuler pour bien me faire comprendre, ils verront leur survie ou leur disparition dans l'acceptation que la sphère publique possède maintenant un lieu ouvert et accessible à tous et que s'il est clair qu'ils n'ont plus le monopole de l'accès aux sources, ils devront devenir des filtreurs de "sens", des débroussailleurs de "mèmes", des pourfendeurs de "rumeurs", les enquêteurs de nos questions qui circulent sur le réseau.
Un événement sur le web, est aussi un événement sur la place publique. Nous attendons d'eux qu'ils fassent la recherche, la synthèse et développe des pistes de réflexion plutôt que de seulement reporter l'information (au quel cas, à ce jeu, ils ne seront que souvenir demain).